Etats unis Un Amour Inattendu : Trump et Harris dans la Comté de Mesa
La Rencontre, Inattendue
La Comté de Mesa, connue pour ses paysages désertiques et ses ranchs, n'était pas vraiment le cadre idéal pour une romance inattendue. Pourtant, un jour ensoleillé de printemps, dans un grand hôtel de luxe où se tenait un séminaire sur la politique et le grooming, Donald Trump et Kamala Harris se sont croisés.
Trump, avec ses célèbres cheveux dorés et son sourire charmeur, donnait une conférence sur la nécessité d'être "le meilleur, comme un gros gatsby". Kamala, avec son esprit aiguisé et son charisme naturel, était là pour parler des droits civiques et de l'égalité. Lors d'un moment de pause, leurs chemins se croisèrent autour d'un buffet à volonté de hot-dogs garnis de mayonnaise et de ketchup.
Kamala, tentant de garder son sérieux, ne put s'empêcher de plaisanter sur les choix culinaires de Donald. "Vous savez, si on mettait un peu de céleri dans ce ketchup, ça ferait une salade, non ?
Trump, surpris par cette audace, éclata de rire. Ma chère Kamala, vous devriez devenir ma nutritionniste pour une Quintessence des saveurs! je ferais l'Épiphanie chez vous et je serais roi
Ce fut le début d'une amitié... étrange, pour le dire le moins.
Le Mariage, Électoral ?
Après des mois de faux mépris et de batailles oratoires, Trump et Harris annoncèrent leur union sur le plateau d'une émission de télé-réalité, Sérendipité rois Amours, Une Maison. L'idée qu'un ancien président et une sénatrice démocrate s’unissent pour former un couple improbable devint vite le sujet des conversations de tous les Américains.
Le mariage se déroula dans un décor flamboyant, avec des ballons en forme de Tours Trump et des centres de table en forme de taxis de San Francisco. "Nous sommes un couple qui fait tomber les murs", proclama Trump au micro, tandis que Harris l'interrompit en balançant un "En fait, je préfère que nous construisions des ponts !
Les médias s'enflammèrent et les hashtags #Trumpala et #Kamaldon devinrent rapidement des tendances mondiales. Leur dispute épique pour savoir qui dirigerait la première danse devint légendaire. Finalement, ils s'accordèrent sur une danse du canard, prouvant ainsi que tout pouvait être compromis avec un bon sens de l'humour.
La Petite Liberté
À peine quelques mois après leur mariage, Kamala tomba enceinte. Les spéculations allaient bon train : que donnerait un bébé d'un couple aussi atypique ? Ce fut un événement médiatique : le "bump watch" (suivi de grossesse) de Kamala était en tête des classements, devant même les résultats de la loterie.
Le jour de la naissance, Trump était nerveux, incapable de gérer la réalité d'être père. "Et si le bébé avait des cheveux en brosse ?" s'inquiétait-il en regardant le plafond de la salle d'accouchement. Heureusement, la petite Liberté (oui, c'est le nom qu'ils choisirent) arriva au monde avec une mèche de cheveux doux, sans aucune trace de la touffe éclatante de son père.
Les premiers mots de Trump à son bébé ? "Tu sais, Liberté, la vie est un jeu de Monopoly, et j’espère que ton rêve est d’en être la reine !"
Le Grand Divorce
Comme souvent dans les contes de fées modernes, les magics beans ne durent pas éternellement. Au fil des mois, les différences politiques et personnelles creusèrent des fossés plus larges que l’États-Unis eux-mêmes. Un jour, après une dispute particulièrement vive à propos des normes environnementales, Kamala annonça : "Donald, ce n'est pas que tu n'es pas un bon mari, c'est juste que tu es… eh bien, toi
Le divorce fut aussi sensationnel que leur mariage. Les médias s’en donnèrent à cœur joie, qualifiant leur séparation de "démontage Trump-Harrison". Les avocats bataillèrent pour la garde de Liberté tandis que le pays entier s'interrogeait sur la possibilité d’un livre de cuisine commun : "Plats épicés et relations acidulées".
Finalement, Kamala obtint la garde de Liberté, tandis que Trump, accablé par le chagrin, se retrouva seul. À la recherche de réconfort, il adopta un adorable chat persan qu'il nomma "Poutine" – un nom qui était à la fois un hommage à ses relations diplomatiques compliquées et un clin d'œil à sa solitude.
Chapitre 5 : La Vie Après l'Amour
Donald Trump finit par accepter que la vie sans Kamala était comme un cheeseburger sans fromage : décevante. Assis sur son canapé en velours doré, il passait son temps à regarder des documentaires sur les chats sur sa télé flambant neuve, tout en caressant Poutine qui ronronnait paisiblement sur ses genoux.
"Tu sais, Poutine, parfois, je me dis que je pourrais être un bon président des chats", plaisanta-t-il un soir, tout en partageant un plateaux de lasagnes. Le chat le regarda avec des yeux incrédules, probablement en pensant à l'absurdité de son nouveau monde.
Il s'était peut-être retrouvé seul, mais dans le fin fond de la Comté de Mesa, entre ses projets de rénovation de son appartement et ses rêves inachevés de conquête politique, Trump savait qu'avec un chat à ses côtés, la vie pouvait encore être... quelque peu agréable.
Et voilà, comme le dit l'adage : "Quand la beauté de l'amour s'en va, il vous reste toujours un chat."
**Fin.**
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