Etats unis , Metairie Bogalusa ,en vidéo,ultra Hd,8K, image d'une rare beauté
Metairie Bogalusa**Les jours de soleil et de cendre**
Metairie Bogalusa, Louisiane, États-Unis. L'été avait laissé place à l'automne, et la ville se préparait à sombrer dans le sommeil hivernal. Les rues étroites et les immeubles bas se succédaient, comme des pièces d'un puzzle, chaque maison plus sombre que la précédente, comme si la nuit s'était infiltrée dans les pierres mêmes.
Dans une de ces maisons, une femme se tenait debout, sur le seuil de sa cuisine, contemplant le paysage qui s'étendait devant elle. C'était Madame Dupré, épouse du propriétaire d'une petite épicerie locale. Elle était rentrée tard du travail, les mains sales et les vêtements fatigués. Ses cheveux bruns étaient emmêlés et ses yeux gris s'attardaient sur les odeurs qui montaient des pots et des casseroles dans la cuisine.
Soudain, elle vit sortir du noir un homme, grand et maigre, avec un teint cireux et des yeux sans âme. C'était Monsieur LaFleur, son mari. Il venait d'une journée de travail à la mine de charbon qui exploitait les richesses souterraines de la région. Il portait un sac à dos et des bottes boueuses, comme si la terre même l'avait épuisé.
"Comment ça va ?" demanda-t-elle sans conviction.
"Comme ça va ?" répondit-il d'une voix éteinte. "Ça va."
Ils se regardèrent en silence un moment, leurs regards se croisant comme deux eaux stagnantes.
Je suis fatiguée, dit-elle enfin.
Moi aussi.
Ils firent silence à nouveau. La femme se retira dans sa cuisine, laissant l'homme s'asseoir à la table de la salle à manger. Elle se lava les mains au robinet froid et puis alla rejoindre son mari.
Les semaines passèrent et le temps fut calme. Madame Dupré se mit à faire les courses pour la semaine avec sa filleule, Loulou. C'était une enfant de neuf ans, aux cheveux roux et aux yeux vifs comme des étincelles de papier jaune. Elle aimait beaucoup sa tante et suivait ses pas comme un petit chien.
En revenant de l'épicerie, elles rencontrèrent Monsieur LeBlanc, le pharmacien de la ville. Il était debout sur le seuil de son magasin, contemplant le paysage avec une expression sombre.
"Bonjour, mesdames ! dit-il avec un sourire triste. Qu'est-ce que vous avez acheté aujourd'hui ?
Madame Dupré prit une pause pour répondre :
"Eh bien... Des légumes. Et du pain. Rien d'extraordinaire."
Loulou regarda son aïeule avec curiosité :
"Tante ? Qu'est-ce que tu as acheté ?
Madame Dupré sourit :
"Eh bien... Des légumes. Et du pain. Rien d'extraordinaire."
Monsieur LeBlanc sourit à nouveau :
"Ah ! Les légumes ! Oui... C'est bien pour la santé..."
Il se tut brusquement et regarda les deux femmes comme si il avait perdu ses pensées.
"Excusez-moi... Je suis perdu... Je vais aller me promener un peu..."
Et il disparut dans la rue.
Madame Dupré haussa les épaules :
"Il est toujours ainsi... Un peu fantasque..."
Loulou regarda son aïeule avec des yeux inquiets :
"Tante... Qu'est-ce qu'il a ?
Madame Dupré secoua la tête :
"Rien, Loulou... Rien du tout..."
Et elle emmena l'enfantule rentrer à la maison.
Les jours passèrent et le soleil continua de briller sur Metairie Bogalusa. Les gens allaient et venaient dans les rues étroites, leur vie banale s'éloignant du tumulte des villes plus grandes. Mais il y avait quelque chose qui changeait dans l'air...
C'était comme si la ville elle-même commençait à s'éveiller. Les maisons nouvelles apparaissaient partout, leurs toits incurvés comme des chiens courbés sous le poids des pluies d'hiver. Les voitures ronflaient sur les routes blanches et les enseignes lumineuses clignotaient dans le ciel noir...
Et les gens commençaient à parler de changements à venir...
De nouvelles entreprises allaient arriver...
De nouvelles familles allaient habiter...
La mine de charbon allait être fermée...
Tout cela faisait dire aux gens : "La ville change !"
Mais Madame Dupré n'y croyait pas... Elle pensait que rien ne changerait jamais...
Car dans son cœur, il y avait quelque chose qui ne bougeait pas... Quelque chose qui resterait éternellement...
La sueur du travail...
La peur du manque...
La haine du lendemain...
C'est ce que Madame Dupré voyait chaque jour dans les yeux de son mari...
Et ce qu'elle voyait dans ses propres yeux...
Le soleil continuait de briller sur Metairie Bogalusa, mais l'espoir s'éloignait...
Metairie Bogalusa est une petite ville d'Amérique du nord Une terre d' une beauté incomparable, des paysages à couper le souffle.Laisser vous bercer par la musique et envahir par l'emotion de ses images de la ville à couper le souffle. Venez faire un petit tour dans cette ville au grand cœur.Venez voir le centre historique filmé pare un drone en vidéos ultra HD 8k
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